Kaiyi E5 : plastique et chêne

Alors, on attaque directement l’intérieur du Kaiyi E5. On va parler de ce qui m’a marqué, et pas forcément en bien… Premièrement, l’impression générale de l’intérieur, c’est… beaucoup de plastique. Et pas du plastique agréable au toucher, non, un plastique dur, vraiment dur. On a l’impression d’être dans une voiture des années NONANTE, pas dans un véhicule censé être moderne. Vous touchez le tableau de bord, la console centrale, les panneaux de porte… c’est partout la même sensation désagréable. On sent vraiment le manque de qualité des matériaux, et ça, ça joue beaucoup sur la perception générale de la voiture. On a l’impression d’une certaine fragilité, même si je n’ai pas constaté de casse ou de problème majeur pour le moment. Mais cette sensation de plastique bon marché, elle est omniprésente. On se demande vraiment si ça va bien tenir dans le temps, surtout avec les vibrations et les variations de température. C’est un point vraiment négatif pour moi.

Ensuite, parlons du système multimédia. Là aussi, j’ai eu quelques déceptions. L’écran est assez réactif, c’est vrai, mais l’interface est un peu… comment dire… peu intuitive. Naviguer dans les menus n’est pas toujours simple, et certaines fonctionnalités sont un peu cachées. J’ai eu quelques petits bugs aussi, des plantages occasionnels, rien de dramatique, mais ça reste frustrant. La qualité sonore des haut-parleurs est correcte, sans plus. Rien d’exceptionnel, mais ça suffit pour écouter de la musique pendant un trajet. Cependant, l’intégration avec mon smartphone n’a pas été parfaite. J’ai eu quelques problèmes de connexion Bluetooth, et la reconnaissance vocale n’est pas toujours fiable. Donc, globalement, le système multimédia est fonctionnel, mais il manque un peu de finesse et de fiabilité. On sent qu’il y a encore du travail à faire de ce côté-là.

Et enfin, le point qui m’a le plus déçu : les sièges. Oh là là, les sièges ! Ils sont inconfortables. Vraiment inconfortables. On dirait qu’ils sont faits en chêne, tellement ils sont durs ! Après plusieurs heures de conduite, j’avais vraiment mal au dos. Le rembourrage est vraiment minimaliste, et le maintien n’est pas optimal. On sent vraiment le manque de confort, et c’est un gros problème pour moi. Pour les longs trajets, c’est carrément rédhibitoire. Je ne comprends pas comment on peut concevoir une voiture avec des sièges aussi inconfortables. C’est vraiment un point noir majeur du Kaiyi E5, et un élément qui pourrait dissuader beaucoup d’acheteurs potentiels. C’est un point crucial à prendre en compte avant d’envisager l’achat de ce véhicule. Il faut vraiment essayer la voiture avant de se décider, pour se faire sa propre opinion sur le confort des sièges. C’est vraiment un élément essentiel à considérer.

Alors, on attaque directement les points faibles et les points forts du Kaiyi E5, en commençant par un détail qui m’a vraiment surpris : le couvercle du coffre. Franchement, l’ouverture et la fermeture ne sont pas des plus agréables. Le mécanisme semble un peu cheap, et la sensation au toucher est vraiment…plastique. On a l’impression qu’il va se casser à tout moment. Et puis, l’espace de chargement lui-même n’est pas gigantesque, donc on se retrouve vite à jongler avec les objets pour tout faire rentrer. C’est un point vraiment négatif pour moi, surtout à ce prix.

Ensuite, parlons du bruit dans l’habitacle. On est loin du silence d’une voiture haut de gamme, c’est certain. À partir de SIXTY kilomètres heure, on commence à entendre pas mal de bruits de roulement, et les bruits aérodynamiques ne sont pas en reste. C’est assez désagréable sur les longs trajets, ça fatigue vite. J’ai aussi remarqué quelques grincements provenant du tableau de bord, surtout sur les routes un peu dégradées. On sent vraiment que la qualité des matériaux joue un rôle important ici. Ce n’est pas catastrophique, mais c’est loin d’être parfait. On est clairement sur un niveau d’insonorisation inférieur à ce que l’on peut trouver sur des concurrents dans la même gamme de prix.

Passons maintenant au groupe motopropulseur et au châssis. Globalement, ça fonctionne, mais on sent une certaine…rusticité. La direction n’est pas particulièrement précise, et on ressent un manque de feedback. Le moteur, lui, est assez linéaire, mais il manque un peu de pêche. On n’est pas dans le domaine de la sportivité, c’est clair. Et puis, le châssis… il est assez ferme, ce qui peut être apprécié sur certaines routes, mais sur les routes plus accidentées, c’est vraiment inconfortable. On ressent chaque bosse, chaque imperfection de la route. C’est un point qui pourrait être amélioré.

Un autre point qui m’a déçu, c’est le variateur. Il n’est pas des plus fluides. On ressent des à-coups assez importants, surtout à basse vitesse. C’est assez désagréable en ville, et ça rend la conduite un peu moins agréable. On a l’impression que la transmission n’est pas parfaitement synchronisée avec le moteur. C’est un point qui pourrait vraiment être amélioré avec une mise à jour logicielle, peut-être ? J’espère que le constructeur travaillera sur ce point.

Enfin, la suspension. Elle est vraiment à faible débattement. Comme je l’ai dit, sur les routes abîmées, c’est vraiment inconfortable. On ressent chaque vibration, chaque trou. C’est fatiguant sur les longs trajets, et ça peut même devenir douloureux pour le dos. C’est un point qui, à mon avis, pénalise vraiment le confort global de la voiture. On est loin du confort d’une berline plus haut de gamme. Il y a vraiment un travail à faire de ce côté-là.












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