Monjaro : freins et assistants défaillants

Alors, on parle du Geely Monjaro aujourd’hui, et plus précisément de ses assistants de conduite, et de leur implication, ou plutôt leur manque d’implication, dans le freinage. C’est un sujet qui revient souvent dans les forums et les discussions en ligne, et je voulais vous donner mon avis après plusieurs semaines passées au volant de ce SUV. On entend souvent dire que les systèmes d’assistance au freinage sont révolutionnaires, qu’ils préviennent les accidents… Eh bien, avec le Monjaro, l’expérience est… mitigée, pour le moins. J’ai eu plusieurs occasions de tester le freinage d’urgence automatique, et franchement, sa réactivité n’est pas toujours au rendez-vous. Il y a un certain délai, une hésitation perceptible avant que le système ne se déclenche, et ce délai, même court, peut faire toute la différence dans une situation d’urgence. On se retrouve donc à freiner soi-même, en espérant que l’assistance arrive à temps, ce qui n’est pas toujours le cas. Il faut vraiment être attentif et ne pas trop compter sur lui. Je ne dis pas qu’il est totalement inutile, mais il ne faut pas le considérer comme une solution miracle. Il faut rester vigilant et garder le contrôle de son véhicule en toutes circonstances. On est loin de la perfection, et c’est un point important à souligner pour ceux qui envisagent l’achat de ce véhicule. Il faut être conscient de cette limite.

Passons maintenant à un autre aspect, plus agréable cette fois-ci : le siège massant. Oui, vous avez bien entendu ! Le Geely Monjaro propose un siège conducteur avec fonction massage. Et là, c’est une vraie réussite ! Après de longs trajets, c’est un vrai bonheur de pouvoir profiter de ce massage intégré. Plusieurs programmes sont disponibles, avec différentes intensités. On peut choisir un massage plus tonique pour se réveiller, ou un massage plus relaxant pour se détendre. La qualité du massage est vraiment surprenante pour un véhicule de cette catégorie. Les différents points de pression sont bien ciblés, et l’intensité est réglable à la perfection. C’est un vrai plus, un petit luxe qui fait toute la différence et qui contribue grandement au confort de conduite. Franchement, après avoir testé plusieurs véhicules, je dois dire que le système de massage du Monjaro est parmi les meilleurs que j’ai pu essayer. C’est un argument de vente non négligeable, et un point fort indéniable du véhicule. Si vous passez beaucoup de temps sur la route, vous allez vraiment apprécier cette option. C’est un détail qui compte, et qui marque la différence.

Alors, on parle du Geely Monjaro aujourd’hui, et on va plonger directement dans le vif du sujet : les points forts et les points faibles. On a eu l’occasion de tester plusieurs exemplaires, et croyez-moi, on a constaté quelques soucis récurrents.

Commençons par les freins. On a eu THREE moniteurs différents, et les THREE ont présenté des problèmes de freinage. Ce n’était pas systématique, heureusement, mais on a ressenti une certaine mollesse, un manque de mordant à certains moments. Parfois, la pédale semblait un peu spongieuse, nécessitant une pression plus importante que prévu pour un freinage efficace. Ce n’est pas un problème catastrophique, loin de là, mais c’est un point à surveiller, et quelque chose que Geely devrait absolument corriger. On a même eu l’impression, sur un des modèles, d’une légère vibration dans la pédale lors d’un freinage appuyé. Rien de dramatique, je le répète, mais suffisamment gênant pour le souligner. On a contacté Geely pour avoir leur avis sur ces retours, mais pour l’instant, pas de réponse officielle.

Ensuite, parlons des aides à la conduite. Sur le papier, c’est plutôt complet, mais dans la pratique… disons que certains assistants ne sont pas aussi malins qu’ils le prétendent. L’aide au maintien de voie, par exemple, était parfois un peu trop interventionniste, corrigeant la trajectoire de manière brusque et un peu désagréable. De même, le régulateur de vitesse adaptatif, bien qu’efficace dans la plupart des situations, a eu quelques ratés, notamment en ville, avec des ralentissements et des reprises un peu saccadés. On a l’impression que le système a du mal à anticiper certains mouvements des autres véhicules, ce qui peut être assez stressant. Il y a un vrai travail d’amélioration à faire de ce côté-là.

Enfin, on ne peut pas nier une certaine ressemblance avec les Volvo. L’intérieur, le design, certains aspects techniques… on sent une inspiration claire. Et c’est plutôt une bonne chose, car Volvo, c’est synonyme de qualité et de sécurité. Cependant, le Monjaro n’atteint pas encore le niveau de raffinement et de perfection d’une Volvo. Il y a encore une marge de progression, notamment en termes de qualité des matériaux utilisés à certains endroits, et dans la finesse de certains détails. On est proche, mais pas tout à fait là. C’est un peu comme une copie presque parfaite, mais qui manque encore de quelques touches pour devenir une œuvre d’art. On espère que Geely continuera à améliorer son produit, car le potentiel est indéniable.







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