Alors, le Haval Jolion avec sa boîte manuelle… qu’est-ce que j’en pense après plusieurs mois d’utilisation ? Globalement, j’en suis plutôt content, mais il y a des points forts et des points faibles, comme pour toutes les voitures.
Commençons par les impressions générales. J’ai choisi le Jolion pour son rapport qualité-prix, et je dois dire que sur ce point, il tient ses promesses. L’équipement est vraiment complet pour le prix, on trouve beaucoup de technologies qu’on ne voit pas forcément sur des concurrents dans la même gamme. La finition est correcte, sans être exceptionnelle, mais pour le prix, je ne peux pas trop me plaindre. L’espace intérieur est généreux, on est vraiment à l’aise, même à l’arrière. La conduite est agréable en ville, la voiture est facile à manier et le moteur est assez vif pour les trajets quotidiens. La visibilité est bonne, ce qui est un vrai plus, surtout en ville. J’apprécie aussi le design, il est moderne et assez élégant, sans être trop ostentatoire. La consommation est raisonnable, je tourne autour de SEVEN litres aux CENT kilomètres en moyenne, ce qui est plutôt satisfaisant.
Maintenant, passons aux inconvénients. Le premier point qui me dérange, c’est la boîte manuelle. Elle n’est pas désagréable à utiliser, mais elle manque un peu de précision. Les passages de vitesses ne sont pas toujours aussi fluides qu’on pourrait le souhaiter, et parfois, on sent un peu de résistance. Ce n’est pas catastrophique, mais ça pourrait être amélioré. Ensuite, le système multimédia, bien qu’équipé, n’est pas toujours très intuitif. L’interface est un peu lente et parfois, certaines fonctionnalités sont un peu complexes à utiliser. Il faut prendre le temps de s’habituer. Un autre point négatif, c’est le bruit de roulement. À partir de vitesses un peu élevées, on entend assez nettement le bruit des pneus sur la route, ce qui peut devenir un peu fatigant sur les longs trajets. Enfin, la suspension est un peu ferme, ce qui se ressent sur les routes dégradées. On sent un peu trop les imperfections de la route, ce qui peut être inconfortable pour les passagers. Ce n’est pas insupportable, mais c’est un point à prendre en compte. Globalement, malgré ces quelques inconvénients, je reste satisfait de mon Haval Jolion. Le rapport qualité-prix est excellent, et les avantages compensent largement les défauts pour mon utilisation quotidienne.
Alors, on parle du Haval Jolion et plus précisément de sa boîte manuelle, la fameuse MKPP. J’ai roulé pendant plusieurs mois avec ce véhicule, et je vais vous partager mon expérience, en détaillant les avantages et les inconvénients que j’ai pu constater.
Commençons par les avantages. Le premier, et c’est pour moi le plus important, c’est la consommation de carburant. Avec la boîte manuelle, j’arrive à des chiffres vraiment impressionnants. Je tourne facilement autour de SIX litres aux CENT kilomètres, voire moins sur de longs trajets. C’est bien en dessous de ce que j’avais anticipé, et c’est un réel atout économique. On ressent vraiment la différence par rapport à des véhicules similaires équipés de boîtes automatiques. La maîtrise de la consommation est totale, on peut adapter sa conduite en fonction des conditions routières et de ses besoins. On peut vraiment optimiser sa conduite pour économiser au maximum.
Un autre avantage, c’est le plaisir de conduite. Je sais, ça peut paraître subjectif, mais la boîte manuelle offre une connexion plus directe avec la voiture. On ressent mieux la mécanique, on est plus impliqué dans la conduite. C’est un aspect que j’apprécie particulièrement, surtout sur les routes sinueuses. On a un contrôle beaucoup plus précis de l’accélération et du freinage moteur, ce qui rend la conduite plus dynamique et plus engageante. On ne ressent pas cette sensation de «déconnexion» qu’on peut avoir parfois avec une boîte automatique. C’est une sensation de contrôle total qui est vraiment agréable. On sent vraiment que l’on est au volant et que l’on pilote la voiture.
Passons maintenant aux inconvénients. Et le premier qui me vient à l’esprit, c’est la fatigue en ville. La circulation urbaine, avec ses nombreux arrêts et redémarrages, peut devenir assez pénible à la longue. Le pied gauche travaille beaucoup, et après une journée passée dans les embouteillages, on peut ressentir une certaine fatigue. C’est un point à prendre en compte, surtout si vous utilisez principalement votre voiture en ville. Il faut être prêt à faire face à cette fatigue supplémentaire. On ne peut pas nier que la boîte automatique est plus confortable dans ce genre de situation.
Ensuite, il y a la question de l’apprentissage. Si vous n’êtes pas habitué à conduire une voiture avec une boîte manuelle, il faudra un certain temps d’adaptation. Il faut maîtriser l’embrayage, le passage des vitesses, et ça demande un peu de pratique. Ce n’est pas insurmontable, mais il faut compter un temps d’apprentissage, et il est possible de commettre quelques erreurs au début. Il faut être patient et persévérant.
Enfin, un dernier point, moins important mais tout de même à mentionner, c’est la vitesse de passage des vitesses. Comparée à une boîte automatique moderne, la boîte manuelle du Jolion est un peu plus lente. Ce n’est pas gênant dans la plupart des situations, mais on le remarque parfois lors de dépassements ou dans des situations qui nécessitent une accélération rapide. Ce n’est pas un défaut majeur, mais c’est une différence qu’il faut prendre en compte.
Voilà donc mon avis sur le Haval Jolion avec boîte manuelle. Comme vous le voyez, il y a des avantages et des inconvénients. Le choix dépendra vraiment de vos besoins et de vos préférences. J’espère que mon expérience vous aidera à faire le bon choix.


